lundi 28 décembre 2015

L'histoire des cochons (la sortie)



À chaque pas que les cochons faisaient, plus d’humains apparaissaient. Le troupeau ralentissait dans le temps de le dire. Orco dit : « Il faut se séparer, sinon, on ne pourra plus avancer. Sur ces les cochons se divisèrent en groupe qui prit deux sorties différentes. L’un avec Orco prit la droite, de long couloir menant à une porte de métal ouvert qui menait vers l’extérieur. L’autre, avec Dégado, prit la gauche, un couloir étroit qui, après menait à droite vers un géant escalier qui montait. Pigu resta au centre devant tous les hommes sans bouger.
— Bouge de là, dit l’un des soldats, allez bouge.
Pigu ne bougea pas d’un poil. Après plusieurs secondes figées, il commença à avancer devant ses ennemies, qui reculèrent d’un pas, surpris de le voir leur tenir tête.
— Il ne peut rien, dit l’une des gardes, il est tout seul.
— Vous vous trompez, dit Pigu, je n’ai jamais été seul.
Bien sûr, les humains n’avaient rien compris du tout à ce charabia.
— Allez-y! Continua Pigu.
Sur ce, tous les Gros se sont jeté sur leurs adversaires et les défonças pour détruire le mur derrière menant vers l’extérieur. Pigu les rejoignit à l’extérieur.
— Qu’est-ce qu’on fait? Demanda un des Gros, on ne peut pas rester là à les attendre.
— On s’enfuit le plus loin d’ici.
Sur ce, la gagne avec notre héros commença leur marche, très longue marche.

Image de cochons de la semaine du 28 décembre 2015

samedi 19 décembre 2015

L'histoire des cochons (L'avancé du troupeau)



Pigu arriva à l’intersection où les trois cochons avaient été séparés. Un tir se fit entendre vers l’endroit où notre héros se dirigeait. « Qu’est-ce qu’ils font? » se dit-il. Il doubla sa vitesse de course pour prêter main-forte à ses amis. Pendant sa course, il entendit plusieurs coups de feu et perdit un des bâtons qu’il avait dans sa gueule. Il s’arrêta net devant une armée de cochon. Orco prit la parole.
« On a facilement réussi à libérer les autres, les gardes étaient saoules.
— Oui, ajouta Dégado, en plus, on à recueilli des fusils.
— Pas le temps de discuter, interrompis Pigu, allons chercher les autres armes et sortons de cet endroit.»
Sur ce, tous les prisonniers se dirigèrent au pas de course vers la salle d’armes. Même les Gros réussissaient à suivre le groupe… presque. Quand les cochons étaient tous équipés, ils se dirigèrent vers la partie non explorée par Pigu du couloir. Quand ils arrivèrent vers un barrage de gardes, ils ne ralentirent pas pour autant. Les soldats n’ont eu le temps que de tirée une seule balle chacun, ce qui tua  8 des animaux du couloir, avant que la collision co-main eu lieu. Toute la résistance de l’avancée des cochons fut piétinée, plusieurs blessés, mais la plupart mort. Pigu, qui était resté en arrière du troupeau, était horrifié par la scène. Comment pouvait-il mener une révolte sans tuer quelqu’un? Depuis ce jour, Pigu se jura de ne tuer aucun être vivant.

jeudi 10 décembre 2015

L'histoire des cochons ( Les armes)



Plusieurs minutes se sont écoulées depuis la séparation des trois cochons et Pigu n’était toujours pas rendu à la salle d’armes. Il commençait à être essoufflé et ses jambes, s’épuiser. De plus, il faisait froid. Ça ne facilitait pas la tâche. Pigu vit une porte sur la gauche et un écriteau dessue. Comme il ne savait pas lire, il regarda par la fenêtre et remarqua un fusil électrique. Il détruisit la bouche d’aération au bas de la porte et s’infiltra dans la salle. À ce moment, il vit beaucoup plus de fusils et des bâtons en métal. Il prit un des fusils et l’alluma sans le faire par exprès. Le cochon entendit des bruits de pas venant d’une autre porte de la salle. Il se cacha aussitôt. Un grincement se fit entendre avec les pas entendus encore plus fort. Pigu paniqué s’établit un plan dans sa tête. Dès que la personne fut au même auteur de notre héros, celui-ci bondit dessue et, avec l’arme dans sa gueule, planta sur sont bras, puis retomba sur le sol. L’homme n’eut pas de chance. Il fut électrocuté et tomba sur le sol tout en gigotant dans tous les sens pendant une dizaine de secondes, puis figea. Pigu, traumatisé, lança le fusil électrique sur un des murs, puis prit quatre bâtons, et s’enfuit en courant vers ses amis.

vendredi 4 décembre 2015

L'histoire des cochons (les couloires)



— J’ai une idée, dit Dégado, on attend que les gardiens ouvrent la porte et puis on sort.
— On l’a déjà fait, répliqua Pigu, on est pris.
Ils cherchèrent un moyen pour ouvrir la porte pendant plusieurs minutes avant de trouver un grillage pour aérer la toilette. Pigu  grimpa sur Dégado, et Orco monta sur Pigu pour atteindre ce fameux grillage. Il fit trois coups de patte, puis le grillage céda. Les trois cochons passèrent de l’autre côté de la pour et tombèrent sur un grand corridor avec des allés un peu partout de gauche à droite. Il n’y avait personne à l’horizon, alors ils décidèrent d’aller vers la gauche. Arrivés au bout du couloir, ils virent deux flèches se dirigeant dans deux différentes directions. Vu qu’Orco savait le rudiment de l’anglais, il put lire les panneaux. Une dirigeait vers les armes contre les cochons et de l’autre côté, la cage des cochons. Les trois évadés décidèrent de se séparer. Pigu irait chercher les armes pendant qu’Orco et Dégado iraient trouver un moyen d’ouvrir la cage. Ils entendirent un  bruit en arrière d’eux qui les poussèrent à exécuter le plan sans même dire un : bonne chance.

vendredi 27 novembre 2015

L'histoire des cochons (la porte maudite)



— Qu’est-ce qu’on fait? Demanda Dégado.
— Hem, dit Orco, on le suit.
Sur ce, ils se dirigèrent vers la porte, mais ne savaient pas comment ouvrir une porte. Pigu proposa de se cacher derrière la porte, puis quand les hommes arriveraient, les cochons s’enfuiraient. Orco et Dégado acceptèrent sans rouspéter. Ils se placèrent du côté ou la porte s’ouvrait. Les trois aventuriers n’en savaient rien. Donc quand les hommes ouvrirent cette énigme rectangulaire, les prisonniers de la toilette fur encore plus emprisonné dans un endroit restreignent. Les gardiens, par contre, ne les virent pas et quittèrent l’endroit qui put en croyant que les épandeurs avaient pu ouvrir cette porte et s’enfuir, ce qui n’était évidemment pas le cas. Après que les cruelles personnes se sont éloignées, Dégado prit la parole.
— On est encore pris derrière la porte, que faisons-nous?
— Nous trouverons une solution, dit Orco, nous trouverons une solution.

À suivre...