jeudi 28 avril 2016

L'histoire des cochons 2 (Un blessé)



Pigu se promenait avec Caleb dans le mini village de cochons. Il discutait tranquillement de la vie en général. À un moment dans la discutions, Caleb remarqua que dans le visage de son chef, Pigu était troublé.
— Est-ce que ça va? Demanda l’ancien Gros.
— Non, pas vraiment. Répondit Pigu
— Qu’est-ce qu’il y a?
— Je n’ai toujours pas de nouvelle de mes amis depuis le début de notre départ. Je sais que je devrais les oublier, mais je ne peux pas.
 — J’aurais peut-être une réponse.
— Sais-tu où ils sont?
— Non, mais comme tu le sais, je ne suis plus jeune tout comme Orco et si je me rappelle bien, le vieux cochon a toujours eu la salle habitude de rester aux endroits qu’il connaît très bien.
— Je ne vois pas le rapport. Il peut connaître tout plein d’endroits. Il a beaucoup d’expérience.
— Il est vieux, donc il perd la mémoire. Donc l’endroit qu’il connait le plus est…
Il fut interrompu par l’alarme du campement.
— ALERTE! UN BLESSÉ!
Les deux dirigeants vont vers la porte de sortie du village.
— C’est qui? Demanda Pigu
— Je ne sais pas, répondit un des gardes, ce que je voie qui saigne, c’est un enfant.
— Un enfant! Pourquoi un enfant?
— Je ne sais pas, je n’étais pas là.
Caleb ordonna à d’autres cochons de venir aider de transporter l’humain. Ils le transportèrent dans une des huttes. Un des cochons apporta des feuilles pour recouvrir la blessure au niveau des côtes. Pigu était très fâché.
— Je vous avais dit de ne blesser personne.
— Je sais, dit un des cochons, mais c’est le chasseur qui avait un fusil qui a tiré dans tous les sens.  Il a touché le garçon s’est éclipser avec les autres chasseurs.
À ce moment, le médecin cochon rentra dans la hutte. Il regarda la blessure. Il ordonna à deux cochons de lui apporter ses outils.
— Que faut-il faire? Demanda Pigu.
— Il faut l’opérer le plus vite possible.

jeudi 21 avril 2016

L'histoire des cochons 2 (le retour de Pigu)



Ça faisait un an que les chemins des trois cochons s’étaient séparés. Pigu s’était installé dans une forêt vers le nord du bâtiment où il était enfermé. La plupart des Gros étaient devenus tout petits en raison de la nourriture très rare. Ils mangeaient des graines et des pommes quand ils étaient chanceux. Ils ont réussi à construire des huttes qui étaient assez bien faites, car il y avait un cochon qui avait trouvé la technique pour construire des outils exprès pour cochons. Il s’appelait Pagaron. C’était un des premiers Gros à retrouver une forme acceptable. Pigu dirigeait le groupe avec un Gros dénommé Caleb. Bref, passons à l’histoire.
Pigu dormait toujours quand un explorateur, un cochon qui explore les environne, rentra dans sa hutte.
— Chef!
— Mmm, quoi?
— J’ai repéré des humains dans les environs.
Pigu se leva en vitesse et sorti des huttes.
— Par où?
L’explorateur montra la direction du sud-est.
— Ils sont combien et sont-ils armés?
— Ils sont six mais n’ont long fusil.
— Pagaron.
— Oui?
— Convoque l’élite. Ils ont une mission.
Quand l’élite fut rassemblée, Pigu fit, un petit discourt.
— Aujourd’hui, je vous ai appelé, car il y a un groupe d’homme qui est proche.
— Que voulez-vous que fessions? Dis le plus imposant des cochons-élites.
— Eh bien, les espionner. Et s’ils s’approchent trop, faites les peurs. Si possible, je voudrais l’arme. Répond Pigu.
— BIEN! Disent tous les cochons-élite.
— Encore une chose, rajoute Pigu, ne les tuez pas. Nous ne sommes pas des assassins.
Toute l’élite s’éloigne dans le bois.