À chaque pas que les cochons faisaient, plus d’humains apparaissaient.
Le troupeau ralentissait dans le temps de le dire. Orco dit : « Il
faut se séparer, sinon, on ne pourra plus avancer. Sur ces les cochons se
divisèrent en groupe qui prit deux sorties différentes. L’un avec Orco prit la
droite, de long couloir menant à une porte de métal ouvert qui menait vers l’extérieur.
L’autre, avec Dégado, prit la gauche, un couloir étroit qui, après menait à
droite vers un géant escalier qui montait. Pigu resta au centre devant tous les
hommes sans bouger.
— Bouge de là, dit l’un des soldats, allez bouge.
Pigu ne bougea pas d’un poil. Après plusieurs secondes
figées, il commença à avancer devant ses ennemies, qui reculèrent d’un pas,
surpris de le voir leur tenir tête.
— Il ne peut rien, dit l’une des gardes, il est tout seul.
— Vous vous trompez, dit Pigu, je n’ai jamais été seul.
Bien sûr, les humains n’avaient rien compris du tout à ce charabia.
— Allez-y! Continua Pigu.
Sur ce, tous les Gros se sont jeté sur leurs adversaires et
les défonças pour détruire le mur derrière menant vers l’extérieur. Pigu les
rejoignit à l’extérieur.
— Qu’est-ce qu’on fait? Demanda un des Gros, on ne peut pas
rester là à les attendre.
— On s’enfuit le plus loin d’ici.
Sur ce, la gagne avec notre héros commença leur marche, très
longue marche.
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