Pigu arriva à l’intersection où les trois cochons avaient
été séparés. Un tir se fit entendre vers l’endroit où notre héros se dirigeait.
« Qu’est-ce qu’ils font? » se dit-il. Il doubla sa vitesse de course
pour prêter main-forte à ses amis. Pendant sa course, il entendit plusieurs coups
de feu et perdit un des bâtons qu’il avait dans sa gueule. Il s’arrêta net devant
une armée de cochon. Orco prit la parole.
« On a facilement réussi à libérer les autres, les
gardes étaient saoules.
— Oui, ajouta Dégado, en plus, on à recueilli des fusils.
— Pas le temps de discuter, interrompis Pigu, allons
chercher les autres armes et sortons de cet endroit.»
Sur ce, tous les prisonniers se dirigèrent au pas de course vers
la salle d’armes. Même les Gros réussissaient à suivre le groupe… presque.
Quand les cochons étaient tous équipés, ils se dirigèrent vers la partie non explorée
par Pigu du couloir. Quand ils arrivèrent vers un barrage de gardes, ils ne
ralentirent pas pour autant. Les soldats n’ont eu le temps que de tirée une
seule balle chacun, ce qui tua 8 des animaux
du couloir, avant que la collision co-main eu lieu. Toute la résistance de l’avancée
des cochons fut piétinée, plusieurs blessés, mais la plupart mort. Pigu, qui
était resté en arrière du troupeau, était horrifié par la scène. Comment
pouvait-il mener une révolte sans tuer quelqu’un? Depuis ce jour, Pigu se jura
de ne tuer aucun être vivant.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire