Plusieurs minutes se sont écoulées depuis la séparation des
trois cochons et Pigu n’était toujours pas rendu à la salle d’armes. Il
commençait à être essoufflé et ses jambes, s’épuiser. De plus, il faisait
froid. Ça ne facilitait pas la tâche. Pigu vit une porte sur la gauche et un
écriteau dessue. Comme il ne savait pas lire, il regarda par la fenêtre et
remarqua un fusil électrique. Il détruisit la bouche d’aération au bas de la
porte et s’infiltra dans la salle. À ce moment, il vit beaucoup plus de fusils et
des bâtons en métal. Il prit un des fusils et l’alluma sans le faire par
exprès. Le cochon entendit des bruits de pas venant d’une autre porte de la
salle. Il se cacha aussitôt. Un grincement se fit entendre avec les pas entendus
encore plus fort. Pigu paniqué s’établit un plan dans sa tête. Dès que la
personne fut au même auteur de notre héros, celui-ci bondit dessue et, avec l’arme
dans sa gueule, planta sur sont bras, puis retomba sur le sol. L’homme n’eut
pas de chance. Il fut électrocuté et tomba sur le sol tout en gigotant dans tous
les sens pendant une dizaine de secondes, puis figea. Pigu, traumatisé, lança
le fusil électrique sur un des murs, puis prit quatre bâtons, et s’enfuit en
courant vers ses amis.
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